Soutenance : Thèse de Soumaya SALLEM

Madame Soumaya SALLEM
Département CITI – Télécom SudParis – Université Pierre et Marie Curie – Ecole doctorale EDITE – Informatique, Télécommunications – Electronique

Sallem Soumaya soutiendra sa thèse de doctorat (Ecole doctorale EDITE) intitulée

« Traitements de réception mono et multi-antennes de signaux rectilignes ou quasi-rectilignes en présence de multitrajets de propagation »,

sous bourse CIFRE (Thalès communications) le 17 décembre 2012 à 14h en salle E101, Telecom ParisTech, 46 rue Barrault 75634 Paris.

Composition du jury :

Rapporteurs :

– Pascal Larzabal : Professeur des universités, Ecole Normale de Cachan, laboratoire SATIE

– Yide Wang : Professeur des universités, Polytech Nantes, Institut d’Électronique et de Télécommunications de Rennes

Examinateurs :

– Sylvie Marcos : Directeur de recherche CNRS, Laboratoire des Signaux et Systèmes

– Jean Luc Zarader : Professeur des universités, Laboratoire ISIR, Paris VI

Directeurs de thèse :

– Jean Pierre Delmas : Professeur Telecom SudParis

– Pascal Chevalier : Professeur CNAM (CEDRIC) et expert Thales

Résumé court

Cette thèse est principalement consacrée à l’évaluation de performance de récepteurs MMSE et MLSE mono et multi-antennes en

multitrajets de propagation.

La première partie est consacrée à une étude théorique de robustesse des récepteurs MMSE en présence de décalage doppler et de désynchronisation émetteur/récepteur pour des modulations rectilignes ou quasirectilignes en présence d’interférences de même nature. Des formules interprétables de perte de performance ont été obtenues dans des cas particuliers.
La deuxième partie considère des récepteurs MLSE en présence de canaux sélectifs en fréquence. Il a été démontré à l’aide d’une extension du célèbre théorème de factorisation spectrale stationnaire circulaire au cas non circulaire, que la structure générale classique (filtrage adapté/algorithme de Viterbi) du récepteur MLSE pour modulations linéaires à symboles réels ou complexes et les modulations quasirectiligne sous hypothèse de bruit gaussien circulaire blanc s’étend sous hypothèse de bruit gaussien stationnaire non nécessairement blanc et circulaire. Puis une étude de performances statistiques de ces différents récepteurs MLSE a été menée sous hypothèse de bruit stationnaire ou cyclostationnaire de période quelconque par rapport à celle du signal utile.